Déjà plus que trentenaire, la société située dans l’Isère et dirigée par Pascal Paréja, s’est vite distinguée par ses investissements dans l’impression digitale d’étiquettes, après avoir constitué un parc flexo productif.
Pour servir ses marchés très diversifiés, l’acquisition récente d’une rotative jet d’encre Durst TAU 330 E vient à la fois prendre le relais de la technologie digitale à toner existante, tout en venant se positionner avantageusement sur les tirages flexo.
Pascal Paréja s’est d’abord montré séduit par la qualité d’impression : « Le jet d’encre offre un rendu incomparable, une belle opacité avec des encres très résistantes ».
Le volet financier a aussi été déterminant pour cet investissement, murement réfléchi : « Nous avons été particulièrement motivé par le coût d’exploitation qu’offre cette machine comparé à la technologie électro-photographique (toner) », précise Pascal Paréja.
Si Durst est un constructeur leader reconnu pour ses compétences en jet d’encre sur de nombreux secteurs industriels, c’est aussi ses solides références dans le domaine de l’étiquette en France qui ont conforté le choix d’Etiq’Alp : « Durst a fait ses preuves dans l’étiquette en France et leurs clients, qui sont aussi mes confrères, sont satisfaits de leur machine » , explique le dirigeant d’Etiq’Alp et de poursuivre : « Nous comptons nous appuyer encore d’avantage sur notre partenariat avec Durst et installerons dès 2018 une autre Tau 330 E sur notre site de production en Côté d’Ivoire ».